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Nous allons ensemble travailler pour bâtir un nouveau projet qui vous ressemble. C’est l’engagement que je prends.

Nadia Ayadi
Posted on
April 5, 2023
Communication Publique versus une Communication politique

Si un mot devait définir mon parcours ce serait ENGAGEMENT.

Tout ce que j’ai entrepris dans ma vie je l’ai fait à travers cette valeur comme si j’avais mis un uniforme pour être au service de.


Une destinée non programmée


Je n’étais pas destinée à faire ce métier car je suis juriste de formation. J’ai fait mes classes à la Sorbonne en Droit public international. C’est à travers un job d’étudiant que j’ai été amenée à côtoyer ce monde professionnel de la communication et de l’influence. J’ai quitté mon doctorat pour être embauchée par un groupe d’éditeurs pour lequel j’ai travaillé 5 ans en tant que Directrice Communication et Marketing. Puis j’ai fait une pause de 10 ans pour m’occuper de mes deux garçons. J’ai gardé un lien avec le monde du travail pendant ce temps en rédigeant des piges pour les journaux locaux de Seine et Marne.

C’est par amitié que je me suis lancée dans l’entreprenariat. Ce n’était pas dans ma culture mais je dirais que c’est dans mon tempérament.

En 2012, le maire de ma ville sonne à ma porte pour me demander de lui faire sa campagne électorale. J’ai été réticente au départ car donner du conseil, je sais le faire. Le vendre devient plus compliqué. J’accepte et c’est comme ça que je crée ma première agence ABN CONSEIL qui deviendra en 2021 ABN STRATEGY.

Redonner du sens

Pour que je prenne un dossier, il faut que j’y trouve du sens. Du sens pour le client mais aussi pour moi. Car cela permet de nous rassembler autour d’un projet commun, de se projeter en ayant une vision prospective, de bousculer les idées reçues ou les individus aussi … En bref d’être audacieux.

Je suis une femme très sensible aux émotions. Si à la première rencontre, il n’y a aucune énergie qui se dégage de mon client potentiel, si je ne capte pas ses émotions, si la connexion ne se fait pas, alors je sais que je ne vais pas être bonne conseillère.

A la tête d’une institution publique ou d’une entreprise, nous avons des femmes et des hommes qui pilotent des structures avec des problématiques similaires.

Et c’est à eux que je m’adresse : je dois connaitre leurs ambitions, comprendre leurs difficultés, déceler les freins qui ne leur pas permis jusqu’ici d’avancer. J’analyse ensuite les organisations internes et externes, les interactions entre les services, entre les individus pour avoir une lecture globale de la problématique.


Nos méthodes

Je pratique deux ingrédients : l’écoute et la sincérité.


Je prends le temps nécessaire pour écouter les demandes de mon interlocuteur afin que s’installe la confiance. Il faut en quelque sorte qu’il y ait une rencontre entre nous deux pour que l’alchimie se fasse. Je dois le comprendre pour cerner le dossier. Je prends aussi le temps de les accompagner à leur rythme pour que la politique du changement ne soit pas trop contraignante pour eux.


Et la sincérité se traduit par un franc-parler. Je ne mens pas à mon client. Parfois elle est perçue comme de la brutalité. Cela pourrait être un défaut mais elle est une qualité pour mes clients « décideurs » qui font appel à moi. Je ne suis pas une courtisane et je leur dis ce que les autres ne peuvent faire.


Votre dernier conseil

Je dirai simplement « Venez comme vous êtes » et laissez-vous porter. Prenez le temps de faire une pause en déposant toutes vos problématiques et vos ambitions sur la table. Nous allons ensemble travailler pour bâtir un nouveau projet qui vous ressemble. C’est l’engagement que je prends.